Restez Dans Le Flow

J'ai rencontré Caroline Nobilé il y a trois ans, juste avant qu'elle ne fasse le grand saut vers l'entrepreneuriat en fondant INSWIP, sa société de Conseil en Marketing Stratégique & Innovation et de Coaching.En 2013, alors que tout semblait bien se passer pour elle, Caroline a dû faire face au scandale de l’année, le horsegate, de la viande de cheval retrouvée dans des plats de lasagnes supposément faits à base de viande de bœuf.A l’époque, communiquer ne fut pas simple. Pour Caroline, ce n'était pas la première fois que ce noble animal apparaissait dans sa vie. Hop, à nouveau il semait la zizanie ! Nous avons donc parlé accident de cheval vécu vingt ans auparavant, anniversaire et résilience, harcèlement professionnel et expériences de mort imminente mais aussi thérapies où comment apprendre à faire d'un traumatisme un réel atout dans sa profession. Enfin, nous avons échangé sur l'importance d'aller au-delà des tabous liés à la parentalité, notamment dans notre vie professionnelle, que l'on so

Une minute de Flow, c'est un moment très très court que j'ai envie de partager avec vous via Restez dans le Flow.En tout simplicité et sur le sujet de mon choix, en lien avec l'actualité... ou pas, vous entendrez le son de ma voix !Allez, c'est parti pour un livre que je lis actuellement, celui de Gisèle Szczyglak : Subversives.Docteure en philosophie politique et en éthique appliquée, Gisèle Szczyglak est experte en mentoring et leadership, diversité, réseaux et accompagnement à la transformation des organisations.Pour en savoir plus sur Gisèle Szczyglak ou acheter son ouvrage publié chez payot :https://www.wlc-partners.com https://livre.fnac.com/a15606331/Gisele-Szczyglak-Subversives Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Une minute de Flow, c'est un moment très très court que j'ai envie de partager avec vous via Restez dans le Flow.En tout simplicité et sur le sujet de mon choix, en lien avec l'actualité... ou pas, vous entendrez le son de ma voix !Ce pourra être au sujet de la vie d'un auteur, de son ouvrage, de mon quotidien d'affranchie, de ma vie perso ou ma vie pro (passée, présente) bref, tout ce qui peut vous montrer en moins de 5 minutes que la vie au-delà de la résilience c'est possible.Peut-être pas pour tout le monde, j'en conviens, mais le rêve donne envie, donne des ailes.Allez, c'est parti pour l'une des tribunes qui m'a marquée ces derniers temps, celle de Nathalie Iannetta : « On ne veut détruire personne. On veut juste déconstruire un système ».Pour en savoir plus sur Nathalie Iannetta ou lire sa tribune publiée le 27 mars 2021 au journal Le Monde ==================== N'OUBLIEZ PAS DE VOUS ABONNER ====================

Une minute de Flow, c'est un moment très très court que j'ai envie de partager avec vous via Restez dans le Flow. En tout simplicité et sur le sujet de mon choix, en lien avec l'actualité... ou pas, vous entendrez le son de ma voix !Ce pourra être au sujet de la vie d'un auteur, de son ouvrage, de mon quotidien d'affranchie, de ma vie perso ou ma vie pro (passée, présente) bref, tout ce qui peut vous montrer en moins de 5 minutes que la vie au-delà de la résilience c'est possible.Peut-être pas pour tout le monde, j'en conviens, mais le rêve donne envie, donne des ailes.Allez, c'est parti pour l'un de mes livres coup de cœur, celui de Lucile Paul-Chevance : L'enfant de la source.Pour en savoir plus sur Lucile Paul Chevance ou acheter son ouvrage publié au Livre de Poche : http://lucilepaul-chevance.com Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

La première fois que j’ai entendu parler Thomas Codron, c’était dans une vidéo où il partageait ses propres avancées et son engagement auprès des femmes en grande souffrance, notamment grâce à l’APSA Association Pour la Solidarité Active du Nord-Pas de Calais, l’association Accueil 9 de cœur qui propose entre autres des hébergements pour les femmes mais aussi un centre de thérapie, Systémia, servant d’ailleurs de lieu de ressources pour les professionnels confrontés aux problématiques de violences conjugales.Il y a quelques mois, j’ai demandé à Thomas s’il serait d’accord pour échanger avec moi sur ses capacités de médium, sur la source de celles-ci (et je trouve l’histoire plus dingue que la mienne), sur sa démarche et son engagement à aider les femmes ayant vécus des traumatismes et dont il a remarqué qu’elles étaient nombreuses à venir le consulter pour se reconstruire.Nous avons aussi parlé de son parcours professionnel et sa formation de chaman. Comment a-t-il sauté le pas pour se mettre à son compte et

Marie L'Hermite et moi nous sommes rencontrées il y a quelques mois de cela et lorsque nous avons échangé sur son parcours et ce qu'elle réalisait dans son quotidien d’avocate je me suis dit qu'il était impossible que je passe à côté !  En 2019, après dix années passées à travailler comme juriste d’entreprise dans les secteurs de l’énergie et des télécommunications, la crise de la quarantaine aidant, Marie s'installe à son compte comme avocate. Sa conviction : que le droit serve autant aux projets professionnels qu'associatifs. Elle s'engage donc auprès de diverses associations telles que l'AFFJ (association française des femmes juristes) 2GAP (collectif mondial de réseaux professionnels féminins et mixtes) ou encore comme bénévole dans le cadre du projet projet OneHome .Son but : permettre à nos sociétés d’avancer plus rapidement vers une égalité réelle. Je sais que l'innovation fait partie de son ADN donc nous avons aussi parlé blockchain mais avant tout de la loi Copé-Zimmerma

Pour ce nouvel épisode de l'un des temps forts de ma vie, j’étais déterminée à vous parler de mes vingt-cinq ans, l'âge auquel j'ai voulu créer une entreprise pour la première fois, l'âge auquel j'ai échoué... Et puis j'ai été rattrapée par l'actualité ! Le livre de Camille Kouchner, le hashtag #MetooInceste partout sur les réseaux sociaux, l'annonce de l’ultime livre de Gabriel Matzneff et pour couronner le tout le dépôt de plainte de la fille de Richard Berry.J'en suis venue à me demander : là où les hommes sont des hommes de pouvoir ou bien tout simplement ont le pouvoir, là où les hommes sont dit puissants, où se trouvent les femmes ? Qu’est-ce qu’une femme puissante, qu’est-ce qu’une femme de pouvoir ? Mais j'ai vite compris qu'il me faudrait des semaines pour arriver à démêler cette question que je pensais pourtant relativement simple à la base ! (oui, c'est ça, riez)Quid des anonymes ? De vous, de moi ?Au final, le plus simple est tout de même de vous parler de mes passages à l'action et de la cré

Orane, la première fois que je l’ai vue c’était dans un bar à Rennes il y a cinq ans. Un bar où j’aimais beaucoup me rendre avant même qu'elle n'en devienne la bistrotière, la gérante : La part des anges.Le nom me plaisait, le lieu me plaisait et surtout je n’avais pas le choix puisque c’était devenu le QG de mon compagnon lorsque nous habitions Paris et que nous nous rendions sur Rennes pour voir ses enfants ! Aujourd’hui j’habite Rennes et ce bar, devenu un lieu LGBTQI+ (comprenez un lieu lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et plus) est toujours mon QG. Il fait bon y travailler en journée. Comme le dit le guide Le petit futé : "c'est le troquet dans lequel on se sent systématiquement bien. Dans son univers décalé, arty mais non consensuel, son caractère si typique (qui) fait qu'on ne s'en lasse jamais. Antre féministe qui donne la part belle à la communauté LGBTQ, c'est typiquement l'endroit dans lequel les tabous ne passent pas la porte ! La bibliothèque e

Ancienne comédienne, Marielle Lieber-Claire aime jouer avec les mots depuis toujours. Elle a déjà prêté sa voix dans plusieurs univers : publicités, film, bandes-annonces, télé, narration, et même sketch. Ce qui la passionne ? Le coaching en prise de parole, le storytelling et bien d'autres  choses comme le podcast. Je l'ai d'ailleurs connue grâce à l'un d'eux !Avec  Marielle, nous avons abordé la façon dont nous incarnons notre corps et notre voix ! Ce corps et cette voix dont beaucoup trop des femmes n’arrivent pas à les incarner - et ce, quelle que soit la sphère : intime ou professionnelle. Parce qu'adolescente mon rêve était d’incarner des personnages, j'ai demandé à Marielle s'il pouvait y avoir une prise de conscience de nos ressources et une réappropriation de notre corps par le théâtre. Mais encore ? Et bien écoutez, vous entendrez aussi parler d'huitre perlière.

Dans ce nouvel épisode de la thématique Les temps forts de ma vie de Restez dans le Flow, je vous parle d'envie, de désir de maternité.Est-ce qu’on désire un enfant ou on désire une grossesse ? Est-ce que c’est bien la création d’une famille que l’on souhaite ? Et comment est-il possible de désirer lorsqu’on a vécu un passé traumatisant ? D'ailleurs, on a aussi le droit de ne pas désirer ! Il y a des raisons à cela. Mais lorsque ça arrive, comment vit-on tout cela dans notre corps de femme, dans notre relation de couple au quotidien et quels sont les difficultés, les obstacles à dépasser pour vouloir donner la vie ? Comment ai-je géré ma première grossesse et toutes les peurs qui s’y rattachaient ? Car oui, il y en a des peurs lorsque le passé se rappelle à vous au moindre changement durant la gestation.Bonne écoute !*********** Si cet épisode vous a plus, n’hésitez pas à le noter ⭐⭐⭐⭐⭐ sur Itunes / apple podcast et à le partager autour de vous

Lucile, je l’ai d’abord entendue en novembre 2019 dans Métamorphose , le podcast d’Anne Ghesquière, alors qu’elle abordait la thématique ô combien délicate du rapport à l’argent ! L’argent fait-il le bonheur ou comment vivre une vie d’abondance ? Comme le dit Anne Ghesquière, Lucile y parle « cash pour nous aider à  comprendre et à fluidifier notre rapport à l’argent, que l’on soit dépensier, en manque d’argent ou incapable de le gérer, que l’on ait déjà des ressources importantes ou non. »Du coup, forcément, je devais l’inviter moi aussi à prendre la parole au sujet de ce lien que peuvent avoir des femmes anciennement traumatisées avec l’argent. « Le  bonheur, ça se passe à l’intérieur. Ça ne se passe pas dans ce que l’on  possède, de ce que l’on achète ou de l’objectif que l’on atteint.Dans cet épisode…Nous avons parlé de notre relation à l’argent qui, en général, est basée à 99% sur du manque. Nous avons aussi parlé de cette course permanente à pl

Ce nouvel épisode de la thématique Le droit de… est un peu particulier puisqu’il est réalisé dans le cadre de la quinzaine #ChairDePod du label Podcut pour Halloween.Cette année, le choix de l’équipe pour s’amuser pendant cette période festive s’est porté sur le roman d'horreur écrit par l’auteur Stephen King ; The shining, et porté au grand écran par Stanley Kubrick en 1980.  On m’a suggéré de fouiller du côté de l'actrice Shelley Duvall. Qui est-elle ? D’où vient-elle et surtout, disparue des écrans depuis 2002, qu’est devenue cette actrice aujourd’hui âgée de 71 ans ? Je ne vais pas parler d’alcool, je ne vais pas non plus parler de la violence ou des secrets que la fiction elle-même comporte. Non, moi je vais vous parler de la réalité et de celle qui se cache derrière le personnage de Wendy. De la violence ressentie et vécue par Shelley Duvall elle-même à l’époque.Oui, j’en conviens, tout cela n’est pas très glamour ! Mais je me suis embarquée dans cette aventure d’Halloween avec grand plaisir e

Cette fois-ci, dans Parlons thérapie, je reçois une invitée qui a une place spéciale dans mon parcours de résiliente puisque c’est la toute dernière thérapeute que j’ai rencontrée alors que ce n’était pas du tout prévu ! En février 2020, je suis allée consulter Marthe Vertueux, coach de vie et thérapeute spécialisée en rebirth, dernière présidente de l’AFR, l’Association Française de Rebirthing. Dans cet épisode…Thérapeute spécialisée en quoi ? Le rebirth ? Kesako ?Marthe Vertueux nous explique d’où vient cette méthode créée par Léonard Orr  qui la pratiquait, à ses débuts, immergé dans l’eau d’une baignoire avant de comprendre que ce n’était pas tant le lieu qui comptait que le rythme de la respiration elle-même.  Vous allez entendre comment cette technique basée sur le souffle, sur les inspires et les expires, m’a permis de réengrammer mon corps, c’est-à-dire de mémoriser une nouvelle information dans mon corps et ce en pleine conscience.  C’était peut-être la dernière chose qu

Pour ce nouvel épisode dans la thématique Parlons thérapie, je reçois une invitée que vous avez déjà entendue au micro de Restez dans le FloW en 2019. Aurore Malet-Karas, neuroscientifique et sexologue fait partie des femmes qui m'ont marquée lorsque j’ai lancé mon podcast.  Cette fois-ci, nous avons échangé sur les mémoires, dont la mémoire traumatique, et un sujet ô combien tabou : l’orgasme réflexe !  Connaitre le fonctionnement de notre cerveau et les informations neurologiques transmises depuis nos organes génitaux jusqu’à celui-ci ou inversement peuvent-ils servir aux personnes traumatisées par des viols ? Que peut-on proposer aux victimes pour arriver à se départir du sentiment de honte qui les habitent, qu’un plaisir purement physiologique a pu susciter ?Ce sont les questions que nous avons abordées ensemble dans ce dernier entretien de Restez dans le FloW, sans oublier, bien sûr, comment j'ai dû faire face moi-même à des résurgence et comment je les ai traitées sur le moment ! Des

Il y a longtemps que je n’ai pas partagé avec vous sur la thématique Et la vie pro dans tout ça ?chez une femme résiliente !Au vu des événements actuels, je me suis dit qu’il serait pas mal d’échanger sur ce sujet.Quel impact a un événement tel la COVID19 sur la vie de résilientes et résilients ?Une nouvelle crise de vie voire la réactivation d’un ancien trauma arrive-t-elle systématiquement ?Sombre-t-on dans des méandres psychologiques ou au contraire dépasse-t-on ce stade, de nouveau prêt à rebondir vers une vie meilleure, vers un soi meilleur ?J'ai connu pas mal d'épisodes de crises dans ma vie professionnelle, parfois très durs, mais je m'en suis toujours remise et je dirais même que cela m'a aidée à aller toujours plus loin, à croire toujours plus en moi. Et ça, chez une ancienne victime, chez une résiliente, ce n'est pas une mince affaire !Et vous, avec la situation actuelle, si vous deviez faire face à un nouveau choc, comme la perte de votre emploi, comment feriez-vous ? Seriez-vous sur les starting-b

J’avais treize ans lorsque j’ai consulté une psychologue clinicienne pour la première fois. Mais à l’époque, si je savais que je voulais trouver une solution à mon mal, je ne savais pas qu’en connaitre l’origine ne suffirait pas à m’en guérir !  Dans ce nouvel épisode de Restez dans le FloW, dans la thématique Parlons Thérapie, j'aborde avec vous dans les grandes lignes l'histoire de l'hypnose et ma première fois, à dix-neuf ans, avec une hypnothérapeute spécialisée en thérapie brève centrée sur la solution.Bonne écoute !________________Sites consultés pour ce dix-neuvième épisode :- Institut Français d'Hypnose IFH  : https://www.hypnose.fr/*********** Si cet épisode vous a plus, n’hésitez pas à le noter ⭐⭐⭐⭐⭐ sur Itunes / apple podcast et à le partager autour de vous

Souvenez-vous, j’abordais le sujet du dépôt de plainte à travers le monde du cinéma dans le dernier épisode de Restez dans le FloW ou plutôt le manque de dépôt de plainte ! C'est vrai, pourquoi n’ai-je jamais porté plainte ? Et si nous vivions dans une société où sans aller jusqu’à penser que les hommes sont tous des masculinistes (fort heureusement, ce n'est pas le cas) mais que bien trop d'hommes et de femmes n'ont pas conscience de la portée du système patriarcal dont ils seraient les victimes involontaires, dont il serait temps de tous nous émanciper ?Finalement, pour les personnes - enfants comme adultes - qui décident de passer à l’action, qui décident de parler, que se passe-t-il lorsqu’elles ont le courage d’appeler les numéros d’aide à l’enfance ou de se rendre à la BPF, la Brigade de Protection des Familles ?Je ne dis pas que j’apporte des réponses à ces questions. Je farfouille un peu ici et là et du coup je vous partage mes découvertes dans cette seconde partie de la thématique Le droit

Il y a belle lurette que je ne suis plus victime, que je ne me sens plus victime, que je ne me vis plus comme une victime, alors pourquoi aborder le thème du dépôt de plainte dans ce nouvel épisode puisque je ne fais pas partie des personnes ayant porté plainte contre son agresseur ? Comment aborder de manière simple ce sujet auquel toute personne violée, femme ou homme, enfant ou adulte, est confronté dès l’arrêt des faits - ou dès le déblocage de la mémoire traumatique des années plus tard après les faits - le sujet du dépôt de plainte, la saisie de la justice ?Avant de débuter ce nouvel épisode sur le droit de porter plainte… ou pas ! dans Restez dans le FloW, je précise que le contexte aidant j'étais déjà confinée chez moi depuis le premier mars en l'écrivant (et oui, j'ai commencé à vivre en recluse bien avant la majorité des français) et que l'enregistrement date du 12 mars, jours du décès de Tonie Marshall. Ne pouvant déjà plus, à l'époque, recevoir mes invités comme prévu, je me suis lâchée

Pour ce nouvel épisode de la thématique Parlons thérapie, j'ai invité Cécile Dayan.Résiliente et encourageant l’expression des autres femmes, Cécile a décidé de les accompagner à travers la création et l’écriture, notamment dans son engagement au sein de l'association d'Anya Tsai, Les Résilientes.Violée à plusieurs reprises avant ses dix-neuf ans, elle fait partie de ces femmes qui n'ont pas été crues ni soutenues par leur famille. Celles qui sont laissées de côté pour "maintenir la cohésion familiale". Elle fait partie des femmes qui ont signé, en 2012, le manifeste des 313 initié par Clémentine Autain publié dans Le Nouvel Obs.Comment Cécile a réussi à aller au-delà de sa mémoire traumatique ? Comment a-t-elle réussi à faire confiance à sa mémoire et en ses propres capacités pour avancer et se reconstruire ?Avec elle, nous avons parlé mémoire, bien-sûr, celle que l'on remet en question, celle que l'on perd mais aussi celle qui fonctionne comme une bouée de sauvetage, celle "comme un radeau allant et venant

La mémoire… Ah lala, la MÉMOIRE… c’est un sacré truc ! Quand je repense à l’enfant puis à l’ado que j’étais, le premier souvenir qui me vient en tête ce sont mes problèmes de mémoire. Pourquoi ? Parce que d’un côté j’avais des souvenirs auxquels je ne souhaitais pas avoir accès #fichuemémoiretraumatique et de l’autre un problème d’accessibilité ou plutôt d’utilisation de la mémoire de travail, celle dont on a besoin tout le temps !Dans ce premier épisode de l'année 2020 de la thématique Parlons thérapie, je vous explique ce qu'est cette fameuse mémoire traumatique. Cette mémoire implicite émotionnelle, comme le dit le docteur Muriel Salmona, spécialiste en traumatisme et résilience, est "une conséquence psychotraumatique de violences que l’on peut vivre et qui se traduit par des souvenirs qui arrivent de manière intrusive sans que l'on ne puisse rien y faire".Je vous présenterai aussi les autres mémoires, celles dites de "travail" : la mémoire sémantique, la mémoire épisodique, la mém