Salle 101

[…] sereine, apaisée comme la France, la Salle 101 te parle de Carlos Zanon (J’ai été Johnny Thunders), de Robert Charles Wilson (Les affinités), et de Philip K. Dick (Le maître du haut-château, le livre ET la série). Avoue, tu es sans voix. « La science-fiction, c’est une sorte de stérilet de l’âme, en fait », affirme […]

[…] Après quelques jours de repos bien mérité au Panama, la Salle 101 revient en pleine forme, au meilleur de sa vigueur royalo-collectiviste. Dès lors, elle n’hésite pas à te parler de Mr Morgen, bande-dessinée ûber-chelou, croate et définitivement inscrite dans la lignée d’un Yama-Loka Terminus sous Spasfon™, de Ultimate Ultimex, bande-dessinée drôle pour peu […]

[…] toujours fidèle à la fantasy, littérature divine qui enfonce toutes les autres, la Salle 101 te parle longuement de Jacques Abeille, dont l’oeuvre ne contient ni gobelins, ni décapitations, puis, rassasiée, elle évoque la dernière bande-dessinée de Daniel Clowes, Patience, encore inédite en France, avant de se vautrer dans la fange populaire en parlant […]

[…] déterminée à laver la Place de la République dans le sang, les larmes et la mort, pour mieux lui restituer ses vraies valeurs familiales et libérales, la Salle 101 parle de Fabcaro et de Winshluss, grands bédéastes touchés par les Dieux, d’un roman uchronique anglais paru dans une collection policière, et de Vostok, petit […]

[…] résolue à faire donner la troupe pour mater la plèbe, la Salle 101 n’en néglige pas moins les méthodes plus efficaces, comme la télévision et les vacances, par exemple, ce qui ne l’empêche nullement de parler de choses absolument chouettes, comme Top 10, bande-dessinée sortie tout droit du cerveau d’Alan Moore, The frame, film […]

[…] prise entre deux feux, condamnée par les uns, huée par les autres, la Salle 101 bombe le torse et toise l’ennemi avec morgue, pour mieux te parler de plusieurs choses fondamentales : Une heure lumière, nouvelle collection de livres avec des mots commercialisée par les éditions du Bélial, Carrières de sable, joli livre de […]

[…] pour célébrer l’accord historique entre l’Union Européenne et la Turquie quant aux sort de la vermine basanée des migrants, la Salle 101 pousse des cris de joie et chronique des choses dingues, voire totalement folles : Docteur Moebius & Mister Gir, entretiens entre Numa Sadoul et Jean Giraud. Les anges radieux, grosse chose de […]

[…] galvanisée par le récent virage gauchiste de Nathalie kszicu koscuiks Kosciusko-Morizet, la Salle 101 tape du poing sur la table et te parle de plusieurs choses qui méritent ton attention : Le livre des choses étranges et nouvelles, roman de Michel Faber, Trepalium, série télé produite par Arte, Jambes fluettes etc., roman de Tom […]

[…] Résolument du côté de l’innovation, du côté du gaz de schiste, du côté des OGM, la Salle 101 s’offre l’Amérique et la France en évoquant avec sensualité différentes choses notables : Délivrance, roman de James Dickey. Compagnie K, roman de William March. Notre château, roman d’Emmanuel Régniez. De quoi emplir tes oreilles du miel […]

[…] Comme promis, Léo Henry est venu nous parler du projet collaboratif Adar, quatrième tome des aventures colorées de Yirminadingrad, avec tout un tas de gens en guest star, dont Laurent Kloetzer, Mélanie Fazi, Stéphane Beauverger, Maheva Stephan-Bugni et Anne-Sylvie Salzman. Tu peux encore donner ton argent. Et tu peux écouter tout ça ici même.

[…] trop heureuse de découvrir qu’elle vivait elle aussi avec un écrivain, la Salle 101 célèbre la plume de Nicolas Sarkozy, sans omettre l’actualité littéraire brûlante qui fait tout le sel de la culture en France. Wonder lover, nouveau bel et bon roman de Malcom Knox. Utopia, série télévisée avec des images qui bougent. Sombre […]

[…] Enfin libérée du laxisme inconscient de Christiane Taubira, toujours prête à gracier des violeurs pédophiles communistes récidivistes schizophrènes, la Salle 101 t’offre un peu de légèreté en chroniquant plusieurs petites choses notables. Succession, de Scott Westerfeld. Cheval roux, d’Elsa Triolet. Alexandre Jacob, journal d’un anarchiste cambrioleur, par Vincent et Gaël Henry. Alors ? Alors, […]

[…] ulcérée par les attaques injustes contre Valérie Pécresse, dont la très haute valeur ne peut être honnêtement contestée, la Salle 101 parle de Syrie, mais pas que : Le fond des forêts, excellent roman de David Mitchell, Generation Kill, série télé de David Simon, Récits d’une Syrie oubliée, témoignage comique de Yassin Al Haj […]

[…] Enivrée par le regard bleu azur de Jean-François Copé, la Salle 101 parle enfin de Gazoline, bande-dessinée culte de Jano, tout en s’offrant le luxe de disserter longuement sur Docteur Rat, roman de William Kotzwinkle, et sur Les incidents de la nuit, bande dessinée de Dabid B. Et le plus fou, dans tout ça, […]

[…] reposée par les festivités du nouvel an, la Salle 101 entame l’année sans perdre une seconde et te balance coup sur coup des trucs dispensables et indispensables : Alamut, par Vladimir Bartol, Philip K. Dick goes to Hollywood, par Léo Henry, et Utopiales 2015, par tout un tas de gens dont l’ineffable Jérôme Noirez. […]

[…] pour mieux anticiper la grande libation, les litres de champagne, les canetons broyés par millions pour te procurer ton foie gras, la nourriture trop riche et la mauvaise haleine, la Salle 101 t’offre la dernière émission de l’année, festival de joie, explosion de bonheur, dans laquelle nous évoquons le cas de plusieurs choses importantes […]

[…] exaltée par la joie, ivre de bonheur, prête à la dénonciation de ses voisins, la Salle 101 consacre entièrement son émission à l’indispensable Ringolevio, du tout aussi indispensable Emmett Grogan. Au début, on voulait parler de plein d’autres trucs, et puis en fait non. « Là, tout de suite, honnêtement, je ne suis pas sûr », […]

[…] magnifiquement sanglée dans un uniforme en cuir cintré, l’oeil bleu, la mèche blonde, la Salle 101 discute de culture déviante, pour mieux la dénoncer. Alcoolique, de Jonathan Ames et Dean Haspiel. Vite, trop vite, de Phoebe Gloeckner. La trilogie parisienne, de Patrick Pécherot. Alors, content ? « Ouais, mais tu vois, quoi, tu vois », nous […]

[…] maintenant que le bruit des armes s’est tu, maintenant que le vol des oiseaux emplit de silence nos villes harassées, maintenant que tu peux enfin souffler chez toi, éclairé par la lumière nucléaire du capitalisme à visage humain, la Salle 101 t’offre un peu de joie et de chaleur : La chute de Londres, […]

[…] Galvanisée par la Troisième Guerre Mondiale, la Salle 101 t’offre un peu de culture avant la fin du monde, avec Puerto Apache, sombre roman de Juan Martini, Bad Boy Bubby, lumineux film de Rolf de Heer, Le dictionnaire Khazar, merveilleux labyrinthe de Milorad Pavic et Legationville, de China Mieville. Profite, ça ne va pas […]