Salle 101

[…] heureuse, décomplexé, la Salle 101 est la police, la Salle 101 est l’armée, la Salle 101 est l’ordre, et pour mieux le prouver, elle t’offre un divertissement sur mesure, sensuel et intellectuel : Under the skin, roman de Michel Faber, Les tuniques bleues, bande-dessinée de Salvérius et Cauvin, et même L’animal, livre-objet de Sylvie […]

[…] soulagée d’avoir marché aux côtés de Viktor Orban et de Benjamin Nétanyahou pour défendre la tolérance, l’amour et la liberté d’expression, La Salle 101 se requinque en parlant de plusieurs oeuvres notables, Cruelty to animals, a handbook, de Vivien Le Jeune Durhin,  Les vieux fourneaux, de Cauuet et Lupano, et les Lettres de George […]

[…] enfin apaisée, enfin seule, enfin sereine dans la lumière du monde, la Salle 101 te propose l’ultime émission de l’année 2014, où l’on décortique Celle qui a tous les dons, roman de M. R. Carey, L’alliance, roman de Lois McMaster Bujold et Lune L’envers, bande-dessinée de Blutch. Va en paix. « Putain la teuf du […]

[…] satisfaite de mépriser pauvres, minorités ethniques, auteurs de SF francophone et contrôleurs de la RATP, la Salle 101 concocte une émission culinaire d’anthologie, où baignent dans leur sauce des créateurs curieux et curatifs : Franck Ferric et Trois oboles pour Charon, Franck Manuel et 029-Marie, la bande-dessinée culte Ranx,  le dernier album de Schuitten […]

[…] sachant déjà pour qui elle va voter à l’occasion de la primaire UMP, la Salle 101 te propose une méditation sur le thème de l’Anarchy, oui, on l’écrit comme ça, et plus particulièrement sa déclinaison en projet transmédia, télé, web et tutti quanti. Tu es perdu, public ? Écoute Roland Richard t’en parler. No […]

[…] heureuse de voir que le bon public de la Sainte UMP ne s’est pas trompé en sifflant Juppé pour mieux acclamer Sarkozy, la Salle 101 continue à rire bêtement des aventures du Comité Colbert, sans oublier pourtant sa vocation première, parler des livres qui le méritent, dont Le grand livre, Black-Out, All-Clear et Sans […]

[…] ulcérée par les reculades gauchistes d’Alain Juppé, La Salle 101 dit du bien des riches du projet Rêver2074, parle de Maudits, roman de Joyce Carol Oates, de La frontière, tome 2 des Deux Mondes, gros roman de Neal Stephenson, sans oublier nos amis chinois, avec Le septième jour, par Yu Hua et nos amies […]

[…] enfin libérée du carcan des représentations picturales traditionalistes, la Salle 101 s’oriente désormais vers le street art, en compagnie de Codex Urbanus, dont les liens occultes avec les Anciens sont connus. Si tu penses qu’au long des ères peut mourir même la mort, clique ici. « La décoration, c’est un truc viscéral », susurre Rosa A.

[…] finalement contente d’apprendre que le monde va mieux quand on laisse le marché s’autoréguler, la Salle 101 donne carte blanche à Benjamin Mayet pour nous parler de son adaptation théâtrale de La zone du dehors, d’un certain Alain D., tout en laissant Jules nous livrer une chronique tout à fait passionnante d’un essai presque […]

[…] folle de joie, dépravée, hystérique, la Salle 101 te parle de choses à la fois diverses et importantes. Mange tes morts, un film avec des voleurs, pardon, avec des gitans. Prague, faubourg Est, un premier roman de Timothée Demeillers. Le paradis des autres, roman-poème de Joshua Cohen. Le livre de l’eau, roman-mensonge de Limonov. […]

[…] Fidèle à ses principes d’excellence chaque jour renouvelés, la Salle 101 a bel et bien interviewé l’artiste protéiforme Acuti, dont les propos réjouissants ensoleilleront évidemment ta semaine. Ne nous remercie pas. « L’important, c’est l’ordre », insiste Alice A.

[…] Impatiente d’assister à la prochaine dévoration intra-ump, la Salle 101 s’élève vers des sommets encore vierges, parle du dernier roman de Iain Banks, évoque deux expositions d’importance, et te présente un nouvel auteur inconnu, mais dont on parlera sûrement à la ville, Antoine Volodine. Allez, profite du soleil. « J’te bétonnerais tout ça pour faire […]

[…] convaincue par l’éloquence de son premier ministre, séduite par le cap résolument affiché, la Salle 101 dissèque les fonds de tiroir de Tolkien, dit du bien de Wendy Delorme, visite des expositions rigolo-gratuito-bédéistes à Paris, dit tout sur les rapports troubles entretenus par Catherine Dufour et Alfred de Musset. Tu vas moins faire ton […]

[…] Public chéri, il est temps de te remettre en selle. Et pour mieux t’accompagner dans ce moment douloureux, la Salle 101 soigne ton moral en te disant tout, oui, tout, sur Le roi en jaune de Chambers, mais aussi tout sur Price, de Tesich, sans oublier tout sur La maison de l’aube, de N. […]

[…] pour célébrer comme il se doit l’anniversaire de Raoul, la Salle 101 se met en quatre, dévoile un complot gouvernemental terrifiant, parle de Marseille Noir, du Couple mort et ses amis, et même de Franky et Nicole, autant d’indispensables choses pour l’été qui s’annonce. Alors, hein ? « J’ai basé l’essentiel de ma pensée politique […]

[…] pour fêter l’ultime émission de la saison 2013/2014, et pour mieux anticiper la suivante – dont le premier enregistrement aura lieu le mardi 2 septembre 2014 –, la Salle 101 se fait plaisir et te propose plusieurs choses d’importance, Carnaval, de Juan Francisco Ferré, Les lois de l’été, de Shaun Tan et Le zoo […]

[…] comme promis, Edyr Augusto est venu tout droit du Brésil nous parler de la vie, de l’écriture, de la mort et de Michel Platini. Et toi, tu as raté ça ? « La Salle 101, c’est un peu la championne du monde des émissions de radio », affirme Edyr A.

[…] Comme prévu, l’immense Leandro Avalos Blacha a fait un petit aller-retour de Buenos-Aires comme ça, pour toi, public, alors sois content. « C’est très bien, la Salle 101, c’est un peu grâce à elle si j’ai le Prix Nobel 2023 », nous assure Leandro A. B.

[…] Contrariée par les rumeurs fantaisistes de surfacturation à l’UMP, la Salle 101 présente des comptes impeccables en parlant du dernier roman de Neal Stephenson, Les deux mondes, sans négliger le reste : Black Mirror, série anglaise bizarre pour les gens bizarres, et La femme de l’ogre, bande-dessinée muette très jolie. Alors, hein ? « Fichtre, […]

[…] contente et confite, la Salle 101 évoque plusieurs machins qui font plaisir aux yeux, La très bouleversante confession de l’homme qui a abattu le plus grands fils de pute que la terre ait porté, d’Emmanuel Adely, Épépé, de Ferenc Karathy, Certains l’aiment noir, de Foerster. Autant dire que l’économie est en passe de se […]