Salle 101

[…] Consternée par la descente aux enfers de Silvio Berlusconi, condamné par une justice inique à essuyer des anus de vieux plus jeunes que lui, la Salle 101 rétablit certaines vérités universelles en parlant d’oeuvres notables : L’univers de carton, de Christopher Miller, Last Exit to Brooklyn, de Hubert Selby Jr. et Zoo City, de […]

[…] Profondément logée au coeur du Valssisme, la Salle 101 parle de Carlos Zanon et de son nécessaire N‘appelle pas à la maison, de Georges-Olivier Chateaureynaud et de son oeuvre nécessaire, de Tony Sandoval et de son nécessaire Le serpent d’eau. Autant dire que bon. « Grâce à la Salle 101, j’ai plein de nouveaux amis », […]

[…] Trop contente d’avoir touché du doigt la sensualité du métro parisien, la Salle 101 te propose une joyeuse fournée de chefs-d’oeuvre définitivement recommandables, dont Aujourd’hui l’abîme, de Jérôme Baccelli, Punk Rock Jesus, de Sean Murphy, et Un spécimen transparent / Voyage vers les étoiles, de Akira Yoshimura. C’est avec ce genre de comportement que la […]

[…] Habituée des émissions à couper le souffle, la Salle 101 récidive avec talent, se moque des morts et te parle de plusieurs choses folles devant un public de feu : L’intégrale Imaro, de Charles Saunders. Notre quelque part, de Nii Ayikwei Parkes. L’éclair silencieux du Catatumbo, de Daniel Fohr. Vergacion de vergada en la […]

[…] fière de son identité, fière de ses origines, les mains hautes et la tête propre, la Salle 101 exhume ses archives et te propose en exclusivité pour toi, rien que pour toi, la seconde émission de son histoire, diffusée un beau jour de décembre 2002, à l’époque où le monde était plus jeune et […]

[…] Consciente des limites de la démocratie et de la nécessité d’instaurer rapidement un totalitarisme éclairé de type titiste, la Salle 101 fête le printemps en évoquant plusieurs oeuvres d’importance notable : Théorie de la vilaine petite fille, par Hubert Haddad. La chambre de Lautréamont, par Edith et Corcal. Les rues de Santiago, par Boris […]

[…] Comme prévu, l’immense Catherine Dufour est venu parler de son dernier ouvrage, le très exceptionnel Guide des métiers pour les petites filles qui ne veulent pas finir princesses, et ce fut tout à fait bon. Qu’attends-tu ?

[…] Comme convenu, Fabien Clavel est venu nous parler de son dernier roman, L’évangile cannibale, où l’on rencontre des vieux, des zombies, et parfois les deux. Tu peux en profiter ici.

[…] Après onze années de bons et loyaux services, la Salle 101 s’offre son premier fou rire irrépressible — et ce n’est pas grâce à Jean-François Copé, non — en chroniquant diverses oeuvres d’importance notable, comme Le vent se lève, dessin animé de Miyazaki, La Havane Noir, recueil de nouvelles cubaines, et Le Diable tout […]

[…] Gênée par tous ces pisses-froids qui font passer la politique avant le sport et sont incapables de trouver quelque chose de plus grand qu’eux en voyant des types en combinaisons moulantes dévaler des pentes virginales, la Salle 101 t’offre du rêve, public, en chroniquant diverses oeuvres fondamentales pour ton hygiène morale  et intellectuelle : […]

[…] Fidèle à la tradition sociale-démocrate qui la caractérise depuis sa création, la Salle 101 s’intéresse au magnifique Hécate de Frédéric Jaccaud, roman noir tiré d’un fait divers excentrique, sans oublier d’évoquer le cas éminemment satanique du jeu de rôle, fléau de notre saine jeunesse, symbolisé entre autre par la déviance d’un machin contre-nature appelé Eclipse […]

[…] galvanisée par le boom de la vente de scooters en Île de France, la Salle 101 parle d’un petit livre qui marche bien ‑ Don Quichotte ‑, sans pour autant négliger la littérature plus classique, avec Complications, de Nina Allan et Bilbo le hobbit, de on ne sait plus qui. Alors, qu’est-ce qu’on dit ? […]

[…] pour démarrer l’année avec une vigueur sociale-démocrate renouvelée, la Salle 101 dit du mal d’Enki-Bilal-le-peintre tout en disant du bien d’Enki-Bilal-le-dessinateur-de-BD, sans toutefois se limiter à l’art dégénéré, notamment grâce à l’immense Rosa Abdaloff qui parle de Cru, étrange recueil de Luvan, et l’immanente Alice Abdaloff qui découvre l’eau chaude et nous certifie que Jaworski, […]

[…] Emballée par la prochaine vente de 18795 Rafales à l’armée brésilienne, connue pour son extrême douceur envers les opposants, la Salle 101 chante sa propre hymne à la joie en signalant plusieurs oeuvres d’importance notable, comme Les aventures d’Ultra-Chomeur, chouette BD drôle mais pas tant que ça, Les Petits Hommes, chouette BD à gros […]

[…] contente, ravie, heureuse de voir enfin s’achever cette année 2013, laide et pourrie comme le coeur de Brice Hortefeux, la Salle 101 conclut avec classe en parlant de Et quelque fois, j’ai comme une grande idée, gros et grand roman de Ken Kesey, et Corps à l’écart, joli roman d’Elisabetta Bucciarelli. Allez, sans rancune. […]

[…] La Salle 101 part aux Bahamas claquer son pognon en cocktails, prostitué-es, cocaïne de première qualité, et te donne rendez-vous le mardi 7 janvier 2014 pour la reprise des enregistrements dans les conditions habituelles. Et pour fêter ça, la Salle 101 t’offre en exclusivité et en intégralité, la première émission, désormais mythique, datée de […]

[…] effondrée par mort du Général Aussaresses à qui EDF doit tant, la Salle 101 retombe en enfance, parle de Bidouille et Violette, bande-dessinée d’Hislaire, du Cycliste de Tchernobyl, roman de Javier Sebastian, et du Bookfighting Club, concept d’Yves Duranthon. Alors s’il te plaît. « La poésie, moi, c’est toute ma vie« , lance François F.

[…] Heureuse de présenter Rosamund Abdaloff, sa nouvelle recrue, la Salle 101 convoque les fantômes des légions romaines, des bureaucrates soviétiques et des amants d’Éric Cantona, avec Furor, roman de Fabien Clavel, Les rencontres d’après minuit, film de Yann Gonzalez, et L’escargot sur la pente, roman des frères Strougatski. Comment peux-tu danser alors que ton […]

[…] Drapée dans le respect de la chose immanente, la Salle 101 parle de… euh… du film, là, avec le train… tu sais, là, le truc avec des coréens gelés, mais américains… Snowmachin, là… et comme elle n’est pas en reste, la Salle 101 parle aussi de In god we trust, dernier Winshluss en date, […]

[…] Toujours prompte à parler émeutes, barricades, cocktails et vins fins, la Salle 101 invite Loïc Merle à évoquer son premier roman, L’esprit de l’ivresse, paru chez Actes Sud en septembre dernier. Et ça se passait à la Librairie Charybde. Incroyable, non ?